PROCESSUS DE TRAVAIL
Communication directe
J’ai appelé avec le gestionnaire de projet pour bien comprendre les défis, les solutions, les produits installés et la valeur ajoutée.
Clarification et compréhension
J’ai reformulé verbalement avec lui les informations reçues pour m’assurer que je les avais bien comprises.
Organisation logique
J’ai mis en place une structure qui visait une progression naturelle : l’expertise de l’entreprise, deux études de cas, un aperçu des solutions par secteur d’activité, puis les avantages de l’immotique.
Recherche terminologique
J’ai dressé une liste des termes et concepts techniques à définir. J’ai ensuite consulté les dictionnaires pour les concepts, les fiches descriptives et techniques des produits pour les reformuler ou les expliquer. Pour m’assurer qu’ils seraient compris par les non spécialistes, mais sans trop tomber dans la simplification excessive, j’ai d’abord fait relire le document par le chargé de projet, puis par une collègue des ressources humaines.
Clarté et exemples
Concernant les acronymes, j’ai pris le soin de les écrire une première fois au long avant de les utiliser par la suite. Par exemple, « systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) » ou « identification par radiofréquence (RFID) ».
Par ailleurs, au lieu d’utiliser des termes techniques comme « systèmes de régulation thermique », j’ai préféré écrire « Ces systèmes assurent une qualité parfaite du pain » pour que le lectorat non spécialiste puisse saisir concrètement les avantages de ces systèmes.
Support visuel
J’ai inséré des photos de l’usine et un schéma 3D permettant d’illustrer concrètement les concepts abordés.
Au départ, j’avais peur de trop simplifier et de perdre en précision technique. Cependant, en travaillant de près avec un spécialiste, nous avons pu trouver le juste équilibre entre accessibilité et justesse.